Al Andalous





La Macarena

Les larmes de la Macarena




Mes parents m'y amenèrent quand j'avais 12/15 ans. Les images, les paysages, le patrimoine, les chants, sont ancrés pour toujours dans ma mémoire et ce souvenir me procure beaucoup d'émotions.


cliquer sur le lien ci-dessus
Pour écouter la chanson générée par l'IA : colonne de droite, en bas





Commentaires

  1. Isa.D29 août 2025 à 00:55

    Je ne connais pas l'Andalousie mais ton poème reflète bien l'idée que je m'en fais...
    Et ta première photo est sublime !

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Denis (Damy)29 août 2025 à 06:49

      Merci beaucoup pour ta visite, Isa (les photos sont piochées sur le web)

      Supprimer
  2. Anonyme30 août 2025 à 17:56

    J'y ai séjourné, à Séville. C'était magique. Le ciel était si grand. La vie était si vraie. Je garde la nostalgie de tant de splendeurs. Le Guadalquivir. Les orangers amers. La chaleur. La beauté dans chaque détail. L'Histoire qui sourd de chaque pierre.

    J'ai vraiment tenté de me connecter (inscrite, je le suis déjà), mais lorsque j'accepte malgré moi les cookies imposés, je reçois un message d'échec.

    Donc je signe :
    Anonyme avec un grand A !!!

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Denis (Damy)31 août 2025 à 08:33

      C'est mal fait cette histoire de cookies. Mes souvenirs remontent à + de 50 ans... Grand merci pour votre accompagnement

      Supprimer
    2. Anonyme31 août 2025 à 16:08

      Mes souvenirs ne sont pas si vieux, et mon séjour était assez long. Ville de rêve... Région de rêve... J'aime beaucoup la chanson que vous avez mise en lien, encore que je ne l'ai écoutée qu'une fois, je me réserve le droit de vous la critiquer proprement si le besoin s'en faire sentir plus tard.

      Signé : Salima

      Supprimer

Enregistrer un commentaire

Posts les plus consultés de ce blog

Parestoo Ahmadi, chanteuse iranienne et Nadia Anjuman, poétesse afghane

Image
  Paarastoo Ahmadi  , chanteuse iranienne qui a été emprisonnée  pour avoir donné un concert en ligne sans hidjab, a été libérée le 23 décembre 2024. « Je suis Parastoo, la fille qui ne peut garder le silence et refuse d'arrêter de chanter pour le pays que j’aime. Écoutez ma voix. »   Cliquer=> آهنگ ۷ با صدای پرستو احمدی J'ai hélas appris ce jour (31/01/2025) qu'elle a été libérée sous caution avant son jugement À Nadia Anjuman , poétesse afghane traquée par les talibans et tuée par son mari. Nadia Je l’ai rencontrée sur un quai de gare. Elle regardait passer les trains. De dos, sa silhouette était bien faite et attirante. Timide, je me suis approché à pas discrets. Elle a senti ma présence et a tourn é le visage vers moi… Forough  ! – « Mignonne allons voir si la rose », osai-je. –  « Regarde le ciel, il te voit, Embrasse la terre, elle t’aime. La vérité c’est ce qu’on croit E t la nature c’est toi-même....
Lire la suite

Hominis miserabilis

Image
  Hominis miserabilis Il ne me faudrait rien qu’un peu d’air et de vent Pour me laisser voler au-dessus d’un nuage Quand sur terre rugit la terreur du carnage Que l’ouragan répand en plein cœur de l’avent. Je voudrais qu’un seul jour, dans mon humble couvent, Le silence murmure une prière sage Et se taise à jamais l’assourdissant orage Des bombes de l’humain à moitié mort-vivant. Des forêts et des mers, des déserts, des montagnes Se meurent chaque jour. Nous laissons les campagnes Se noyer ou sécher par manque de printemps. Irons-nous en colons envahir tout l’espace Qui n’offre d’oxygène aux pieux pénitents Qu’en remettant à Dieu la foi de guerre lasse ? Damy                                   
Lire la suite

Marquèze sous les bombes

Image
  U n airial (éyriau en gascon) est une aire en campagne landaise, faite de pelouse plantée de chênes pédonculés et de pins parasols, où vivaient autrefois des familles de paysans (maître, métayer, résinier, berger qui, perché sur des échasses, surveillait le troupeau de moutons). La sylviculture intensive et industrielle de pins maritimes a progressivement fait disparaître la communauté agropastorale. Les airials ont été, petit à petit, abandonnés. Sensibilisé par la qualité de l’environnement et de l’architecture des maisons landaises (bois et torchis) et par la fragilité de ce patrimoine , le Parc Naturel Régional des Landes de Gascogne a sanctuarisé l’airial de Marquèze o uvrant ainsi au public un écomusée où je fus guide dans ma jeunesse. Marquèze sous les bombes C’est un milieu sensible en ma terre natale, Un refuge où la paix règne depuis longtemps. L’airial 1 , antiquité des écomilitants, Exhale sous les pins une aurore vitale. Le crépuscule rouge où meurt ...
Lire la suite