Paarastoo Ahmadi , chanteuse iranienne qui a été emprisonnée pour avoir donné un concert en ligne sans hidjab, a été libérée le 23 décembre 2024. « Je suis Parastoo, la fille qui ne peut garder le silence et refuse d'arrêter de chanter pour le pays que j’aime. Écoutez ma voix. » Cliquer=> آهنگ ۷ با صدای پرستو احمدی J'ai hélas appris ce jour (31/01/2025) qu'elle a été libérée sous caution avant son jugement À Nadia Anjuman , poétesse afghane traquée par les talibans et tuée par son mari. Nadia Je l’ai rencontrée sur un quai de gare. Elle regardait passer les trains. De dos, sa silhouette était bien faite et attirante. Timide, je me suis approché à pas discrets. Elle a senti ma présence et a tourn é le visage vers moi… Forough ! – « Mignonne allons voir si la rose », osai-je. – « Regarde le ciel, il te voit, Embrasse la terre, elle t’aime. La vérité c’est ce qu’on croit E t la nature c’est toi-même....
La Macarena Les larmes de la Macarena Mes parents m'y amenèrent quand j'avais 12/15 ans. Les images, les paysages, le patrimoine, les chants, sont ancrés pour toujours dans ma mémoire et ce souvenir me procure beaucoup d'émotions. Poème El Andalous chanté cliquer sur le lien ci-dessus Pour écouter la chanson générée par l'IA : colonne de droite, en bas
- 18 L'article est réservé aux connaisseurs qui m'en voudront de désacraliser l'Art majeur de la course landaise Ramouncho , le gitan meilleur écarteur des Landes en mai 1968 La course landaise La course landaise n’est pas un sport, c’est un art, un art sacré dirais-je. Elle appartient au patrimoine culturel immatériel gascon . Des témoignages de jeux organisés autour des vaches sont rapportés depuis des siècles dans le sud- ouest de la France. Le document authentique le plus ancien conservé aux archives nationales fait état en 1457 d’une coutume ancestrale consistant à faire courir vaches et bœufs dans les rues de Saint-Sever durant les fêtes de la Saint-Jean. C’est au cours du XIX e siècle qu’un évènement fait entrer la course landaise dans la modernité, c’est l’obligation de la pratiquer dans un lieu délimité et fermé, entouré de gradins, une « arène », et non plus librement dans la rue comme c’était le cas jusque-là. L’homme (« l’écarteur ») qui ...
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